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Les assiettes creuses d'été
Prix habituel €60,00 EURPrix habituelPrix unitaire par -
Les eaux du soleil
Prix habituel €80,00 EURPrix habituelPrix unitaire par -
Palette de salsa
Prix habituel €140,00 EURPrix habituelPrix unitaire par -
Plat de service festin couvert d'hiver
Prix habituel €500,00 EURPrix habituelPrix unitaire par -
Plat festin couvert d'été
Prix habituel €500,00 EURPrix habituelPrix unitaire par -
Tube à gâteaux
Prix habituel €20,00 EURPrix habituelPrix unitaire par
Adélie De Soumagnat, créatrice éthique et solaire
L'idée de la marque de vêtements Double Double est née alors qu'Adélie de Soumagnat travaille au Kenya et en Tanzanie.
Pour rivaliser avec les tenues pimpantes des habitant.e.s de Nairobi, Adélie confie des patrons et des tissus à des tailleurs locaux pour qu'ils confectionnent des ensembles assortis.
En déménageant à Marseille en 2020, elle s'oriente vers une production 100% locale. «Je peux désormais faire le trajet à vélo entre chez moi et l'usine», raconte Adélie. Elle travaille à partir de textiles de fin de série ou upcyclés auprès de fournisseurs marseillais.
On reconnait les vêtements Double Double aux ensembles vichy inspirés des uniformes scolaires kenyans.
Lucie Sotty, la faiseuse de beurrier colorés
Lucie Sotty est une céramiste originaire du sud de la France, qui a également élu domicile à Berlin.
Elle a baigné dans la céramique depuis son enfance, acquérant les bases de ce médium dans sa région natale.
Avant de se consacrer entièrement à la céramique, Lucie a travaillé en tant que commissaire d'exposition, collaborant étroitement avec divers artistes. Cette expérience lui a permis d'explorer de nouvelles techniques et d'adopter une approche plutôt artistique que traditionnelle.
Dans son atelier, chaque pièce est façonnée à la main en utilisant diverses techniques de construction ainsi que le tour de potier.
Les émaux qu'elle sélectionne avec soin ajoutent de la profondeur et de la texture, créant des motifs saisissants.
Les céramiques de Lucie Sotty sont empreintes de la culture méditerranéenne qui a marqué son enfance.
De plus, l'art contemporain, en particulier la peinture, exerce une forte influence sur son travail.
Ainsi, elle puise dans un large éventail de méthodes, techniques et sources d'inspiration.
Elle combine toutes ces influences pour créer des pièces uniques et imaginatives, explorant les formes et les couleurs vibrantes.
Inspirées par la nature et l'art, les céramiques de Lucie Sotty dégagent une sentiment d’espièglerie et de joie
Léa Laborie, l'énergie débordante
Diplômée en menuiserie à Marseille (Bouches-du-Rhône, France), Léa se consacre au bois depuis 2015.
Après un début de formation en factures d’orgues à Altkirch (Alsace, France), son attirance pour le bois s’est vite orientée vers un travail plus classique avec une formation en menuiserie agencement à Marseille. Déçue de tout le gaspillage fait dans l'industrie du bois, elle décide, fin 2019, de se lancer dans la création d'objet en bois à partir de chutes de bois. Elle travaille aussi avec son frère élagueur et récupère régulièrement du bois de chantier. La plupart des bois utilisés pour les créations sont donc locaux et ne sont pas initialement coupés dans le but d’en faire de l’art.
Lou Thomas, la rondeur solaire
Riche de ses nombreux voyages, au Japon, au Mexique ou encore au Maroc, Lou Thomas est une passionnée de savoir-faire et d'artisanat traditionnel.
Depuis son nouvel atelier marseillais, elle imagine et façonne des pièces en céramique inspirées de différentes techniques découvertes autour du monde. Elle initie des collaborations exclusives avec des chef.fe.s, qu'elle conçoit comme un dialogue entre deux artisan·e·s.
Amandine Gachet, la précision épurée
Architecte de formation, elle découvre la céramique un peu par hasard il y a quelques années, et c’est un véritable coup de foudre.
Pour Amandine, la terre a ce côté magique et ancestral qui nous unit tous. Elle a ce pouvoir de rétablir un équilibre entre le corps et l’esprit. L’appréhender, au tour de potier la fascine, sa mise en forme est précise et demande de la rigueur.
L’architecture nourrit inéluctablement son travail de céramiste .Elle interprète des objets du quotidien, non standardisés et singuliers, toujours en petite série